vendredi 30 septembre 2011

Sécuriser Son Wifi !



Les réseaux sans fil (wireless ou Wifi) avec cryptage WEP (protocole chargé du chiffrement) se banalisent, mais sont considérés comme insuffisamment sécurisés. Toute personne se trouvant dans le rayon d’émission (et même au-delà grâce à des dispositifs amplifiants) est susceptible de communiquer sur le réseau en tant qu’utilisateur valide. Leurs déploiements imposent une protection complémentaire comme le filtrage d’adresse MAC (unique pour chaque carte réseau) et des protocoles de sécurité supplémentaires tels que IPSec, SSL ou SSH.
Généralement, les points d’accès possèdent un serveur DHCP [1] qui permet à n’importe quel poste client d’obtenir un accès sur ce dernier. Le rôle d’un serveur DHCP est de fournir à l’ordinateur client tous les paramètres nécessaires pour communiquer sur le réseau (adresse IP, nom de la passerelle pour se connecter à internet, les serveurs de résolution des noms de domaine, etc.). Ce service est souvent activé par défaut sur les points d’accès. Ainsi toute personne passant à portée radio de votre point d’accès pourra se faire attribuer une IP sur ce dernier et donc utiliser votre accés.
On a rajouté un certain nombre de protections supplémentaires comme le filtrage d’adresse MAC (unique pour chaque carte réseau) et le cryptage WEP.
-  La clef WEP (Wired Equivalent Privacy) de 64/128 bits basée sur l’algorithme RC4 assez peu sûr, devrait se changer régulièrement. Lors de chaque transmission entre les postes du réseau, les données échangées se cryptent toujours de la même manière avec la même clef. Si un pirate, voulant se connecter sur votre réseau, écoute les transmissions de vos postes, il pourra avec certains outils logiciels recalculer cette clef WEP. Une norme supérieure d’encodage des données est en train d’être mise en place pour remédier à ce problème. A noter que l’activation du WEP ralentit le débit d’information en raison du temps de cryptage - décryptage...
-  Le filtrage par adresses MAC est une fonctionnalité de sécurité que l’on trouve sur certains point d’accès Wifi qui permet d’exclure ou de ne tolérer que certaines adresses Mac dans son réseau. L’adresse MAC (Mac address) est l’adresse physique (et donc unique) permettant d’identifier "physiquement" une carte réseau. Cet identifiant unique est constituée de 48 bits et n’est pas liée directement à l’adresse IP. [2] Le protocole 802.11b n’encrypte pas les trames où apparaissent ces adresses MAC. Un logiciel "sniffer" permet de visualiser les adresses MAC des clients. Il est possible, moyennant certains logiciels de modifier de manière artificielle son adresse Mac et donc de faire croire que l’on est quelqu’un d’autre.
-  Le SSID (Service Set Identifier) (identifiant réseau Wifi) est une chaîne de caractères alphanumériques identifiant votre réseau sans fil, déclaré ou masqué par le PC routeur. Pour faire partie de ce réseau sans fil, votre clef WIFI (et vos autres postes clients WIFI 802.11b) doivent utiliser le même SSID. Or chaque constructeur de matériel Wifi propose un SSID par défaut. Par exemple Apple propose "Airport". Il a donc une relation entre les SSID par défaut et les trois premiers octets des adresses MAC des cartes qui identifient le constructeur (00:30:65 pour Apple). De plus, certains OS comme Windows XP intègre une gestion du Wi-Fi qui permet lors de l’activation de la carte et/ou au démarrage d’interroger les points d’accès et de s’y connecter directement. Il faut donc désactiver le broadcast du SSID au niveau du point d’accès ou (si la fonction n’est pas disponible) augmenter le Beacon Interval qui est la fréquence a laquelle le point d’accès transmets le SSID pour annoncer son existence.
Voici quelques conseils pour sécuriser un peu son réseau sans fil :
  1. Modifiez le nom SSID par défaut et en changer régulièrement.
  2. Désactivez la diffusion du nom SSID (SSID Broadcasts).
  3. Modifiez le mot de passe par défaut du compte de l’administrateur
  4. Activez le filtrage des adresses MAC (MAC Address Filtering) .
  5. Activez le cryptage WEP.
  6. Modifiez les clés de cryptage WEP régulièrement.
On peut faire mieux, mais cela demande quelques connaissances :
  • Installez un firewall comme si le point d’accès était une connexion internet.
  • Ce firewall sera le serveur IPsec (VPN) des postes clients sans fil.
  • Certains Modems Routeur ADSL sans fil utilise un noyau logiciel Linux pouvant embarquer des applications clientes telles des logiciels d’authentification.
[1Dynamic Host Configuration Protocol, ou "Protocole de Configuration Dynamique (ou automatique) des Hôtes".
[2] Une adresse MAC (Media Access Control Address) est utilisée pour communiquer avec les autres cartes réseau sur le même sous-réseau. Chaque carte réseau dispose d’une adresse MAC associée, identifiant unique préfinie à la fabrication d’une carte réseau qui l’identifie des autres cartes du même fabricant et du mème modèle. Cette adresse inscrites sur les puces sont définies sur 6 octets de long du type 01-23-45-AB-CD-EF. La norme veut que les 3 premiers octets définissent le constructeur OUI (Organizational Unique Identifier) et que les 3 derniers sont le numéro de série. L’adresse MAC est également appellée adresse physique, adresse Ethernet ou adresse matérielle.

mercredi 28 septembre 2011

Joyeux Annif Google !

Google a fêté hier ses 13 ans avec un "doodle" (logo spécifique) de circonstance :


Depuis l'âge de 4 ans, le moteur de recherche célèbre (à une date suscitant toujours débat, même si l'intérêt pour ce point est globalement faible) son anniversaire avec un tel doodle, qui change bien sûr chaque année. Le site Search Engine Land est parti à la recherche de ces commémorations, et tous les logos ci-dessous viennent de cette source.

Voici donc ce que le moteur nous a proposé depuis 10 ans :

12 ans :

11 ans :

10 ans :

9 ans :

8 ans :

7 ans :

6 ans :

5 ans :

4 ans :

samedi 24 septembre 2011

Le satellite UARS s'est écrasé sur Terre mais on ignore encore où


Le point de chute du satellite américain tombé vers minuit est pour le moment inconnu, indique la Nasa.

Le satellite a une chance sur 3.200 de tomber sur quelqu'un, selon la Nasa. (HO / NASA / AFP)
La NASA confirme samedi 24 septembre que le satellite UARS est retombé sur Terre autour de minuit. Mais le point de chute du satellite américain est pour le moment inconnu.
L'engin spatial est retombé entre 23h23 vendredi et 1h09 samedi heure de Washington (3h23-5h09 GMT samedi), période pendant laquelle il devait survoler "une partie du Canada et de l'Afrique, ainsi qu'une grande part des océans Pacifique, Atlantique et Indien", précise la Nasa.
Le satellite de 6,3 tonnes avait changé d'orientation, rendant possible la chute de débris sur une vaste zone, avait indiqué vendredi soir l'agence spatiale. Selon les projections de l'agence spatiale américaine, 26 morceaux du satellite pouvaient résister à la rentrée dans l'atmosphère avant de s'écraser au sol ou en mer.
"Le risque pour la sécurité publique est très restreint", avait annoncé la Nasa. Laquelle avait mentionné dans ses prévisions précédentes l'Italie, les Etats-Unis et l'Australie comme pouvant être des zones d'impact.
Ces prédictions restaient soumises à une marge d'incertitude de plusieurs heures : compte tenu de la vitesse du satellite - plus de 26.000 km/h -, cela peut correspondre à des dizaines de milliers de kilomètres de différence.
De la taille d'un petit bus, le satellite - nommé "Upper Atmosphere Research Satellite" (UARS) - devait plonger vers le sol en fin de journée vendredi ou tôt samedi matin.
Risque "extrêmement faible"
La Nasa est toujours restée rassurante quant au danger présenté par la chute des morceaux du satellite pour les populations : selon l'agence et d'autres experts américains, le risque qu'un de ces débris blesse une personne ou provoque des dégâts matériels est "extrêmement faible".
Il y a une chance sur 3.200 que quelqu'un, quelque part dans le monde, soit touché par un de ces débris - ce qui, sur une planète peuplée de sept milliards d'habitants et dont 90% de la surface est inhabitée revient à une probabilité de 0,03%.
La plus grande partie du satellite brûlera en rentrant dans les couches denses de l'atmosphère. Les débris qui pourraient retomber sur Terre sur une distance de 750 km auront un poids qui variera de un à 158 kg, selon la Nasa.
La FAA, l'autorité américaine de l'aviation civile, a toutefois publié un bulletin jeudi mettant en garde les pilotes contre "un danger potentiel" représenté par ces débris. L'UARS est le plus gros satellite de la Nasa à plonger dans l'atmosphère depuis 1979 quand Skylab, 90 tonnes, était retombé dans l'Ouest de l'Australie. Selon l'agence spatiale, des objets d'une taille comparable à l'UARS retombent vers la Terre environ une fois par an.
L'UARS, d'un coût de 750 millions de dollars, avait été mis sur orbite en 1991 par la navette Discovery pour étudier la haute atmosphère, dont les trous dans la couche d'ozone. Il a été mis hors service en 2005 après avoir épuisé son carburant.
En cas de blessure ou de dommage causé par la chute d'un débris de l'UARS, les Etats-Unis verseraient des compensations aux victimes en vertu d'une convention internationale conclue en 1972.
Source :
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/planete/20110924.OBS1008/le-satellite-uars-s-est-ecrase-sur-terre-mais-on-ignore-encore-ou.html

Comment Activer Le Nouveau Profil Facebook ?


nouveau profil facebook
Parmi les changements de Facebook à venir prochainement, le « Journal » est certainement le plus important, puisqu’il remplacera dès le 30 septembre le profil des utilisateurs. S'il n’est pas officiellement disponible pour l’instant, il existe toutefois un moyen de l’activer malgré tout, afin de voir à l’avance à quoi vous attendre.


Pour commencer, il vous faut disposer d’un compte « Developper », disponible sur cette page, qui vous donnera accès à ce genre de fonction en avant-première. Vous allez ensuite devoir cliquer sur le bouton « créer une application ». Les noms que vous lui donnerez n’ont pas d’importance, mais n’oubliez pas de cocher la case « J’accepte les Platform Privacy Policy » avant de continuer. Un captcha, et éventuellement une demande de vérification de votre compte par téléphone portable (par SMS) suivront, avant que vous arriviez sur l’écran de configuration de l’application que vous venez de créer. Sur cette page, cherchez le lien « Open Graph » sur le côté gauche et ouvrez-le.




Une fois sur la page consacrée à Open Graph, remplissez les informations demandées par ce que vous voulez (cela n’a pas d’importance), et cliquez sur le bouton « bien démarrer » à la traduction douteuse (Get Started). Ne vous préoccupez pas de la page suivante, qui concerne les actions et messages envoyés par votre application, et descendez simplement en bas de la page pour cliquer le bouton « Save Changes and Next ». Même manoeuvre pour celle d’après, puis « Save ans Finish » pour la troisième page de cette étape.



À partir de maintenant, vous pouvez retourner sur votre page d’accueil, où vous devriez voir apparaître un pavé vous proposant d’activer votre journal. S’il n’apparaît pas, soyez patient, ce n’est qu’une question de temps. Une fois activé, vous pouvez utiliser votre Journal, et ainsi le publier ou attendre simplement son activation naturelle le 30 septembre prochain. Si vous le publiez dès maintenant, il ne pourra être vu que par les utilisateurs disposant également d’un compte développeur pour l'instant.

jeudi 22 septembre 2011

Et Facebook Bouge !


Et enfin Facebook veut faire un changement radical sur le niveau des profils .. Du suspens :) Pour plus d'infos: https://www.facebook.com/about/timeline

Mais Pourquoi Windows 8 ?


1/ Support du 128 bits

Bon, pour commencer, es-tu passé au 64 bits ? Support de plus de 3 Go de mémoire vive, plus grand débit de données,... les avantages sont nombreux, alors que les problèmes de compatibilité n'existent quasiment plus.
Cependant pour l''utilisateur moyen ce ne sera pas un argument de poids.

2/ Support de la 3D

Avec l'engouement actuel pour les technologies 3D (bien poussé par les fabricants, il faut le dire), difficile de passer à côté pour un futur OS. Même les mobiles s'y mettent !

3/ App Store

Windows Phone App Sore


Microsoft a désormais mis un pied dans les App Store avec Windows Phone 7, reste plus qu'à franchir le pas pour les PC ?



4/ Support des architectures ARM

Principales cibles visées : les tablettes ! Mais Microsoft a de toute façon déjà officiellement annoncé le support de l'ARM en début d'année.

5/ Reconnaissance faciale

Tu te places devant ton écran, le PC te reconnaît automatiquement et te connecte à ta session. Pas mal. Enfin disons fun. Car non seulement cela existe déjà via des applications tierces, mais depuis le temps que la reconnaissance d'empreintes digitales existe sur des portables, force est de constater que ce gadget ne s'est jamais beaucoup développé.

6/ Démarrage plus rapide

C'est une des améliorations indispensables à chaque nouvelle mouture. Surtout lorsque la concurrence fait aujourd'hui beaucoup mieux.

7/ Support du Kinect

Microsoft Kinect


Il serait temps de faire davantage converger les différents produits du géant de Redmond. Kinect sur Windows, ça annonce du très bon !



 

8/ Localisation

Windows 8 pourrait utiliser les informations données par des capteurs de localisation. Un indice pour imaginer un OS multi-appareils ?

9/ Bureaux multiples

Linux bureaux multiples


Les amateurs de Linux savent que lorsque l'on a goûté à cette fonctionnalité, difficile de revenir en arrière ! C'était cependant possible jusqu'à présent sur Windows grâce à des applications tierces.


10/ Post-it intelligents

Les post-it sur le bureau existent depuis Vista (et sont pour moi toujours aussi inutiles, déjà assez à faire avec les post-it "réels" collés tout autour de l'écran !), on parlerait cette fois d'une version plus intelligente, capable par exemple de faire des rappels ou de gérer les liens. Mouais, rien de bien révolutionnaire, ça ne devrait pas vraiment faire partie de cette liste selon moi.

11/ Outil de gestion des fenêtres pour le tactile

Avec pourquoi pas la possibilité de changer de fenêtre par le Kinect ? (je vous laisse rêver...)

 

Bonus : un changement radical de nom et d'interface?

Rumeur basée sur cette vidéo de Craig Mundie, directeur de la recherche et de la stratégie de Microsoft :
Une jolie interface à  base de bulles ! Sans pouvoir affirmer que Microsoft suivra cette direction, toujours est-il que Steve Ballmer a annoncé l'an dernier que le prochain Windows serait un de leurs paris les plus risqués.
D'autres rumeurs font état d'une interface pour les tablettes similaire à celle de Windows Phone 7.
Quant au nom ? Et pourquoi pas supprimer le nom "Windows" ?

Dans tous les cas ce futur Windows (ou pas Windows) ne sera pas disponible avant l'an prochain. Finalement rien de révolutionnaire dans cette liste (surtout que certains de ces points existent déjà via des applications tierces), mais au moins des choses intéressantes se profilent sur une expérience utilisateur innovante (3D, Kinect, nouvelle interface ?)

Installer Android Sous iPhone ! Si si C'est Possible ..


Vous aimez le design de votre iPhone, mais vous ne supportez plus qu’il embarque l’OS le plus verrouillé de tous les temps ? Vous convoitez depuis quelques temps l’OS de Google mais attendez toujours le terminal qui sera la hauteur de votre iPhone ? Alors n’attendez plus, la DevTeam a réussi a installer le système Android 1.6 sur un iPhone et Actus Du Geek vous propose un tutoriel pour le faire sur le votre.
Cette installation nécessite d’avoir un iPhone 2G jailbreakéVirtualBox, l’image d’Android ainsi que quelques applications pour Mac et Windows.
Sachez avant de commencer que le résultat final est loin d’être un système Android entièrement fonctionnel. C’est seulement la version Android 1.6 et l’appareil photo ne fonctionnera pas. Seules les fonctions de base fonctionnent : appels, SMS, WiFi. Il est facile de mettre à niveau les versions d’Android une fois que vous serez arrivé à la fin de ce tutoriel.
Attention, cette installation est à vos risques et périls ! Je rejette toute responsabilité pour les dommages que vous pourriez causer à votre téléphone en suivant ce guide. Si votre iPhone se brick, se bloque ou éventuellement vous le jetez par la fenêtre, je ne peux pas être tenu responsable. Utilisez ce guide à votre propre risque. Merci de votre compréhension
Tutoriel en vidéo :
Téléchargements
Voici la liste des logiciels dont vous aurez besoin avant de commencer :
  • IMPORTANT : un iPhone 2G jailbreaké
  • VirtualBox (lien). Obtenir la bonne version Windows / Mac
  • VirtualBox Ubuntu Image (lien). Téléchargez le numéro 10, Ubuntu Linux 9.10 nom de code Karmic Koala x86
  • iPhone Explorer (lien). Si vous êtes sous Linux, vous pouvez utiliser FTP tel que FileZilla à la place.
  • L’image d’Android et les sources (lien)
  • L’image patchée (lien)
Préparation
Quelques explications de base :
  1. Ouvrez le Gestionnaire des tâches
  2. Tuez le processus de iTunes Helper
  3. Installer iPhone Explorer
  4. Connectez votre iPhone à votre Mac / PC
  5. Exécuter iPhone Explorer
  6. Cliquez sur le bouton « Change Root »
  7. Sélectionnez « / » pour le Root Directory de l’iPhone
  8. Allez dans private/var
  9. Copiez ramdisk.img, userdata.img, cache.img et zImage que vous avez téléchargé au point #5 (Android images et sources) et collez les dans le répertoire var
  10. Copiez system.img et android.img.gz du téléchargement #6 (images patchée) dans le répertoire var
  11. Vous venez de copier tous les fichiers Android sur votre iPhone, maintenant il ne reste plus qu’a les exécuter
Configuration de Virtual Box
  1. Installer VirtualBox
  2. Ouvrez VirtualBox
  3. Aller sur File > Virtual Media Manager
  4. Assurez-vous que les disques durs sont sélectionnés
  5. Cliquez sur Ajouter
  6. Recherchez le fichier ubuntu-9.10.vdi (téléchargement #3) et sélectionnez-le
  7. Fermer le Virtual Media Manager
  8. Allez sur Machine > New
  9. Cliquez sur Suivant
  10. Pour le Nom, entrez « Ubuntu »
  11. Sélectionnez le système d’exploitation Linux
  12. Sélectionnez la version Ubuntu
  13. Cliquez sur Suivant
  14. Pour définir une quantité de mémoire vive, la valeur par défaut devrait être bonne
  15. Cliquez sur Suivant
  16. Sélectionnez « Utiliser le disque dur existant »
  17. Sélectionnez l’ubuntu-9.10.vdi
  18. Cliquez sur Suivant
  19. Cliquez sur Terminer
  20. Sélectionnez cette nouvelle machine pour démarrer Ubuntu
  21. Le mot de passe de connexion est : reverse
Configurer Ubuntu
  1. Cliquez sur Système (barre du haut) > Administration > Synaptic Package Manager
  2. Entrez le mot de passe : reverse
  3. Dans la zone, tapez libusb-1.0 recherche rapide, cliquez sur la case à cocher à côté de libusb-1.0-0, puis sélectionnez « Mark for installation »
  4. Dans la boîte de recherche rapide, cliquez sur la case à cocher à côté de libreadline5 et sélectionnez « Mark for installtion »
  5. Cliquez sur Appliquer
  6. Quand tout installé, quittez le Package Manager
  7. Ouvrez Firefox (dans Ubuntu)
  8. Téléchargez Openiboot (disponible ici)
  9. Cliquez sur Places (barre du haut) > Downloads
  10. Clic droit sur openiboot.zip et Extraire ici
  11. Cliquez sur Applications (barre du haut) > Accessoires > Terminal
  12. Tapez ‘cd Downloads/openiboot’ (sans les guillemets)
  13. Redémarrez votre iPhone en mode Recovery (hors tension, maintenez enfoncé le bouton Home, se connecter avec un câble USB)
Démarrer avec Android
C’est maintenant que ça devient vraiment intéressant.
  1. Dans VirtualBox, allez dans la fenêtre Ubuntu sur Devices > USB et sélectionnez iPhone (Recovery Mode)
  2. Dans le terminal, tapez ‘sudo su’ (sans les guillemets)
  3. Entrez le mot de passe : reverse
  4. Dans le terminal, tapez ./loadibec openiboot.img3
  5. Vous verrez l’écran OpeniBoot apparaître sur votre iPhone
  6. Maintenez le bouton power de l’iPhone enfoncé quelques secondes
  7. L’option en bas, openiboot console, sera sélectionné
  8. Appuyez sur le bouton Home de l’iPhone. Vous verrez un bloc de texte apparaitre et s’arrêter à « Welcome to openiboot »
  9. Dans VirtualBox, dans la fenêtre Ubuntu, allez dans Devices > USB et sélectionnez iPhone (OpeniBoot Mode)
  10. Dans le terminal, tapez su ./oibc
  11. Entrez le mot de passe : reverse
  12. Si cela ne fonctionne pas, tapez simplement ./oibc
  13. Vous devriez voir le même texte dans l’iPhone et dans le Terminal
  14. Tapez ‘nor_read 0×09000000 0×0 1048576′ (sans les guillemets) et appuyez sur Entrée
  15. Tapez ‘norbackup.dump:1048576′ (sans les guillemets)
  16. Cela crée une sauvegarde de votre mémoire NOR – conservez une copie sur une clé USB, ou envoyez-le vous par email
  17. Tapez ‘install’ (sans les guillemets) et appuyez sur Entrée. Lorsque c’est fait, vous avez installé openiboot sur votre iPhone et vous avez terminé !
Finalisation
Vous avez donc installé les sources Android sur votre iPhone puis installé Openboot qui vous permettra de choisir sur quel OS votre iPhone démarrera. Encore quelques étapes pour terminer complètement l’installation et utiliser Android :
  1. Tapez ‘reboot’ dans le terminal et appuyez sur Entrée. Si vous n’avez plus le terminal ouvert, débranchez votre téléphone et éteignez-le. Si vous n’avez pas de terminal ouvert, débranchez votre téléphone, éteignez-le et à l’arrière
  2. Lorsque openiboot apparaît, appuyez sur le bouton Power pour basculer sur la console openiboot (option en bas)
  3. Maintenez le bouton Home enfoncé
  4. Android va commencer à démarrer, mais il pourrait prendre un certain temps
Et voilà, vous pouvez maintenant profiter pleinement d’Android sur votre iPhone ! Comme mentionné précédemment, l’OS n’est pas complet, mais j’espère que d’autres développeurs vont contribuer à l’avancement de ce projet.

mercredi 21 septembre 2011

Creepy Ride

1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1


Comme vous le savez sans doute déjà, c’est aujourd’hui et plus précisément ce matin que Nikon a dévoilé sa gamme Nikon 1. Je ne vous rappelle pas toutes les caractéristiques puisque tout est ICI.
Après la présentation, on a donc pu prendre en main et découvrir ces nouveaux appareils compacts à objectifs interchangeables. On vous propose donc nos premières impressions et bien évidemment les photos lives des deux appareils.
nikon one live 01 532x540 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1

On commence par le capteur en lui-même avec son processeur Expeed 3 et le nouvel AF hybride qui vous propose de la détection de contraste par défaut et de la détection de phase avec l’utilisation de l’adaptateur permettant d’utiliser des objectifs F-Mount. Nikon annonce à tout va que c’est l’AF le plus rapide du monde et sur ce point, on ne va pas trop contredire la marque japonaise puisqu’à l’essai, il nous a semblé que ça répondaient effectivement très rapidement, un peu comme avec le derniers PEN d’Olympus. On n’a pas encore mesuré encore mais ça semble le faire.
nikon one live 05 400x540 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1
Arrive alors le débat de la taille du capteur. Alors que Sony, Fuji, Leica ou encore Samsung défendent à tout-va l’avantage d’un capteur APS-C par rapport au Micro4/3 de Panasonic et Olympus, il est évident que le nouveau capteur CX de Nikon est une grosse surprise en soi puisqu’il est plus petit que le Micro4/3 et que donc, par défaut et physiquement, il est forcément moins bon qu’un Micro4/3 ou un APS-C. D’un autre côté, on connait l’expertise de Nikon dans le traitement des images et il se peut que le marque japonaise puisse faire des petits miracles avec leur nouveau processeur Expeed 3. Il suffit de voir ce que Canon propose avec les PowerShot G/S pour se donner une idée et alors que le capteur est encore plus petit.
nikon one live 28 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1
Et qui dit capteur plus petit dit aussi compacité… Mais c’est là que la bât blesse ! Malgré le capteur, les Nikon J1 et V1 ne sont pas foncièrement plus petits que ses concurrents directs, les Panasonic Lumix GF3, Olympus PEN E-PM1/E-PL3 ou autre Sony NEX-C3/NEX-5N. Nikon nous dit que c’est une nouvelle gamme mais il est impossible de se dire que c’est une nouvelle gamme alors que les tailles d’appareils sont quasiment les mêmes. Du coup, que Nikon le veuille ou pas, à nos yeux et à ceux du public, ça joue dans la même cour. Je sais pertinemment qu’une photo réussie parlera toujours plus qu’une photo technique mais si on peut avoir dans le même encombrement, la photo technique et artistique, autant y aller, non ?
nikon one live 24 451x540 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1
Il se pose donc ensuite la question de savoir pourquoi on prendrait un appareil avec un capteur plus petit mais avec un même encombrement, le tout à un tarif légèrement supérieur. A 549€ pour le J1, ne vaut-il pas plutôt prendre un Panasonic Lumix GF3 ou un Olympus PEN E-PM1/E-PL3 ou encore un Sony NEX-C3 qui vous proposeront un capteur plus grand et quelque part meilleur ? Alors oui, il y a le flash intégré (par rapport aux NEX et aux PEN) mais je ne pense pas que ça puisse peser dans la balance. De même pour le V1 à 799€, ne vaut-il pas mieux prendre un Sony NEX-5N qui vous propose sans doute une même qualité optique mais avec un capteur APS-C très très performant ? Sans compter que le V1 ne propose pas du tout de flash sans repasser par la caisse.
Alors oui, il reste le traitement des images et tout et tout mais est-ce que ça suffira pour compenser un capteur forcément moins performant ? Il reste aussi la marque Nikon sur laquelle on pourra jouer sur la capital confiance mais pour combien de temps ?
nikon one live 14 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1
Pour ce qui est de la finition, c’est aussi 50/50. Dans la version noire, on est séduit par la face avant en magnésium et alu, mais on est un peu déçu par le côté plastique de la bête au dos, tout comme pour les boutons en plastique brillant. Et je ne vous parle pas de la finition tout plastique des boitiers en couleurs qui fait justement trop plastique à mon goût mais qui plaira surement au grand public.
A côté, je ne comprends pas non plus pourquoi Nikon a choisi de ne pas nous proposer dans sa molette de sélection les modes PSAM. Autant pour les NEX, ça pouvait s’expliquer parce qu’il n’y a plus de molette du tout, mais là, la molette est présente alors pourquoi ne pas s’en servir ? On pourra argumenter que le grand public n’a pas besoin de ces modes mais quand on voit les réflex d’entrée de gamme qui le propose et qui vise un peu le même public, on peut se demander pourquoi… Le viseur du V1, même s’il n’est que TFT, répond plutôt bien et vous propose une image de qualité. Pour les écrans, même si le J1 ne propose qu’une résolution de 461k points, il répond vite et m’a semblé lumineux. A voir. Et enfin, j’émets un petit bémol concernant le flash intégré du J1 qui me semble plutôt fragile et qui peut être la cible des aléas de la vie.
nikon one live 09 1ères impressions et photos des Nikon J1 et V1
Au final, je vous avoue être un chouilla sceptique. On se doute bien que Nikon ne souhaite pas vampiriser sa gamme de réflex APS-C mais est-ce la bonne solution alors qu’on sait tous que les compacts à objectifs interchangeables représentent quelque part le futur de la photo grand public. La concurrence est rude et Nikon s’offre le luxe de ne pas proposer les prix les plus attractifs pour son lancement. Je sais que Nikon veut créer un nouveau marché mais la limite est trop petite pour que le grand public puisse voire la différence, surtout quand on voit les efforts de miniaturisation et l’agressivité au niveau des prix de la concurrence.
Il va falloir maintenant tester l’appareil bien évidemment puisqu’on a la chance d’avoir le produit en test. On pourra ainsi avoir un avis plus tranché sur la qualité photo qui reste bien évidemment le plus important sans compter aussi l’ergonomie générale. J’ose espérer être bluffé par le capteur CX mais je ne vous cache pas ma déception actuelle. Les Nikon 1 auraient dû sortir plus tôt. Par contre, saluons la sortie mondiale des deux appareils dès le 20 octobre.